jeudi 8 janvier 2015

La Peñita Jour 2

Jeudi le 8 décembre. La Peñita Jour 2

Après le petit-déjeuner, Carole nous avise que c'est jour de Tianguis aujourd'hui, c'est à dire jour de marché. Nous passons donc par la plage et le Malecon pour nous rendre au marché en moins de dix minutes. Il n'est que 9h30 mais déjà l'achalandage commence. Principalement des touristes cependant sauf dans la partie la plus éloignée où les résidants viennent acheter des marchandises diverses, pas chères et de qualité médiocre. Nous nous achetons un bon pain ainsi qu'un énorme jus d'oranges fraîchement pressées. Hélène se trouve aussi une belle sacoche d'été qui sera très pratique, dit-elle pour se convaincre.










En milieu d'avant-midi, c'est la lecture en espagnol pour Hélène et l'étude de la conjugaison des verbes irréguliers pour moi. Puis nous allons prendre une marche au nord de la plage pour voir le cimetière qui cède peu à peu sa place à la mer. C'est peut-être triste pour les morts mais ils ne se plaignent pas à ce qu'il semble.






De retour au camping, nous allons jouer dans les vagues et poursuivons le bain dans la piscine. On dîne ensuite avec une bonne salade au fromage bleu et aux pistaches.

En après-midi, nous poursuivons nos lectures et études puis après la douche c'est déjà l'heure de l'apéro sous la palapa. Et vers 18h, après le coucher du soleil, nous sommes une quinzaine qui partons souper dans un restaurant de Rincon de Guayabitos spécialisé dans la cuisson sur feu de bois : côtelettes, poulet, agneau et steak. L'intérêt vient surtout du fait qu'il y a un orchestre rock qui donne un spectacle durant le souper et qu'il y a de la danse.



Le restaurant est plein et la bouffe est tout au plus honnête selon nos critères. Mais la plupart des autres se régalent. Quant à l'orchestre, il donne un très bon show! Du rock classique comme ils disent. La piste de danse ne dérougit pas malgré que l'âge moyen des danseurs doit bien tourner autour de 65 ans. Nous rencontrons des gens forts sympathiques mais déplorons que le niveau sonore ait été trop élevé pour nous permettre de parler sans crier.



Vers 21h, nous retournons au camping satisfaits de notre soirée très particulière. Et lorsqu'on se couche, les oreilles nous silent, comme on dit en québécois!


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire